Lowell Varsoci overcome by this war of hearts
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| Sujet: ― DON'T FUCK WITH RICH PEOPLE. Dim 25 Juin - 19:04 | |
| don't fuck with rich people the start of an era; the stargazing[...] Les cris de joie, les sourires plus faux les uns que les autres, les cheveux platines à en devenir aveugle. L'élite, ces chouchous qui ne méritent rien de plus que de se retrouver au bas de l'échelle, de voir leurs secrets exposés. Ils sont tous des pécheurs, leurs vices plus importants que l'amour de leur famille, leur carrière ou leur animal de compagnie. Ils sont les maîtres de leurs destins; un qui est de terre et de vers. Un soleil toujours radieux, qui feint des émotions chaleureuses qu'ils ne possèdent simplement pas. Puis un éclair de génie vient à une petite serveuse du country-club, ou est-ce cette vieille dame près de la piscine, cet étranger qui circule dans les rues en silence, ou ce geek toujours derrière un écran ? Le Stargazing voit le jour, d'abord pour le plaisir, puis par vengeance. Secrets, rumeurs, tout pour réduire à néant la parure dorée de ces chouchous aux porte-feuilles plus remplis que les chiottes des bars. Personne ne connaît la véritable identité des journalistes en herbe, ou de l'implication de qui que ce soit. Les chroniqueurs se voilent le visage sous un pseudonyme relatif aux pierres précieuses dans un journal au nom synonyme à la nuit vibrante et sombre qui nous observe; une métaphore à tenir debout lors de l'heure du coucher. Les actions sont comptées, les tenues examinées. Le sarcasme, le cynisme et même la plaisanterie, sont assujettis à ses publications. Deux fois par mois, sans jamais connaître la date exacte, le Stargazing frappe la communauté des Hamptons. Les rumeurs - vrais ou fausses - savent provoquer et fâcher les concernés. Un jeu de punition, de vérité et de scandales pour détruire l'Élite. Quiconque se frotte à ces milliardaires, à ces têtes d'affiches, devient une victime même de ce journal. De quoi vous faire crier: "Oh My Hamptons!!", lieu de villégiature par excellence où se mêlent les destins friables de ceux qui ont réussi ... et de ceux qui attendent leur tour. | |
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