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 i'll do whatever magical comes to you [r/nils]

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Savie Schuyler
- too vicious for hell
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MessageSujet: i'll do whatever magical comes to you [r/nils]   i'll do whatever magical comes to you [r/nils] EmptyMer 3 Mai - 4:54


You got my adrenalin, pumping when you stand so close
I can't help imagining all the thing we'd do, with no clothes on
Le sang coule avec prudence, rompant tout contact avec la peau. Une odeur de fer se dégage dans l'air humide de la pièce. La gouttelette rouge continue sa chute vers le sol – s'écrasant au sol dans un bruit inaudible à l'oreille humaine. La démangeaison, bien que minime, se répand dans le doigt entier. Sans laissé le temps à une pluie de s'y échappé, sa bouche l'englobe, enroulant sa langue pour dépose un brin de salive. Un juron sort de sa gorge encore somnolente. La fatalité d'une vulgarité sur un aussi doux visage, écorchant cœurs et âmes d'une simple parole. L'effet de succion estompe la couleur de sang. L'odeur devint goût; car elle peut – sur le bout de sa langue – percevoir l'agonie de la plaie. Une faiblesse, un seul moment d'inattention. L'arme de torture règne au sol, se moque arborant le trophée de sa victoire. La brochure né pour implorer le Diable, nargue avec ses couleurs sombres. Blanc et noir, un choix ridicule d'imprimerie, pense-t-elle. La douleur la ramène à la blessure en elle-même, qui n'est que de surface. Pourtant, l'échauffement – probablement explicable par sa salive déposé quelques secondes plus tôt – ne lui procure aucune sensation de sécurité. Le papier, méchant. Comme l'homme avec le feu, découvre cette source de chaleur, brûlant chair, ce n'est qu'une leçon à retenir. Elle apprit de son erreur, marche sur le bout de papier en se rendant à la salle de bain pour régler le problème actuel. L'eau ruisselle, laisse son chandail parsemé de points d'eau. La tenue grise devient inévitablement mouillé, dût pour être retirer. La flemme, cette vieille amie, l'embrasse et l'étreigne remémorant de vieux souvenir. Son réveil, bousculé, par exemple. Deux secondes suffisent à Dev, le chandail vole au dessus de sa tête avec puissance. Le grognement sublime qui jaillit de sa trachée laisse percevoir des dents acérés, pointus. Enfant, elle eut des problèmes avec ce mot : mordre. La gamine de cinq ans, encore non-civilisé, ne savait comment se comporter en société. L'étendu de ses connaissances s'appuyant sur son irrationalité, son intelligence d'année encore non-soufflée. Sauvage, déclara un de ses instituteurs, apeuré pour le bien des autres bambins. Féroce, ajouta son père d'un ton convaincue. Trois jardin d'enfant refusèrent la petite Dev. La blague se dessinait sur ses canines, encore plus pointu à l'âge. Le bruit résonne à travers l'écho de la salle de bain – un rugissement digne d'un prédateur. Sans y pensé, son corps se mouve vers sa garde-robe, digne du mannequin qui se réveillait peu à peu. Sans trop porter attention, un ensemble – haut et short, conjoint et visiblement amoureux l'un de l'autre – se retrouve sur sa silhouette mince que plusieurs qualifie de squelettique. Elle s'arrête au mot : forme. Des muscles défini son abdomen, ses bras puis ses jambes. Sa peau légèrement plus pâle prêt de sa poitrine est capturer dans un haut de bikini blanc, assorti du même bas. Le miroir retourne une image troublante de cernes qu'elle dissimule à l'aide de crème miracle obtenu par son maquilleur professionnel. Il ne reste plus que ses cheveux, dans une guerre, une bataille qui ne fait aucun sens. Un combat pour une autre journée, la flemme revient en puissance toquer à sa porte. (…) L'ennuie insupportable de la plage l'énerve. La rage qui bouille dans son corps frêle – bien que musclé comme établit – manque jaillir, se transformer en lave tuant chaque personne responsable de son sommeil inconfortable. Le soleil radiant lui perce les yeux, ses lunettes fumées dans la voiture n'ont aucune utilité à leur emplacement actuel. Elle roule les yeux, un bruit qui, à l'effet d'un réveil-matin sur la plupart de ses interlocuteurs. Heureusement pour la population de la Terre, personne n'ose venir aborder le mannequin, l'ange qui est allongé sur sa serviette de plage, profitant des vagues, du bronzage naturel qui – avouons-le – ne lui fera aucun tord. Certes, quelques rougeurs les premiers vingt-quatre heures, qui seraient suivi d'un changement de teinte. Son maquilleur la tuerait; tant pis. Elle aime la torture, longue et douce, une mort rapide serait offusqué son être entier. Un fantôme renaissant de ses cendres, hantant celui qui eut oser croire qu'elle s'en irait aussi facilement. Le comble d'être lourde, un guide d'instruction qu'elle devait pensé à écrire. Seulement le temps manque, le temps précieux. L'heure de son iPhone 7 – car toute personne qui se respecte est technologique et possède un téléphone Apple, et non la marque du robot, le logo la preuve même qu'un fruit nourrit plus qu'une machine fait de métal – affiche treize heure. Elle blâme son réveil tardif, cette feuille de papier et le stationnement médiocre d'un revers de main. Le nouveau grognement qui laisse percevoir ses canines qui ont mordus une classe entière d'enfants de cinq ans, est utilisé pour prévenir d'un éventuel tsunami de colère. Car, Dev, doit se lever de sa position. Pensé de génie – ou plutôt idée qui lui revient tous les deux jours lors d'ennuis profond – elle déverrouille son portable de nouveau et ouvre l'application orangé. Un seul coup d'oeil à cette liste de contact, quoique longue, suffit. Sa proie sélectionné, elle met l'article au panier avec un seul message : Get your ass on the beach of Amagansett before me, or I die your hair the color I find suiting. Le sourire machiavélique sur ses traits risquerait d'effrayé un enfant. Whatever, car Dev s'en contre-fiche. Qu'on la craint, qu'on est peur, qu'on change de côté de rue en la voyant. Son égo ne se sentirait que plus apprécié. Elle garde un sourire en permanence pour son job, son image parfaite de mannequin. Son sang, palpitant une nouvelle chanson, un battement assidue qui laisse l'adrénaline infiltrer ses veines comme une drogue. La plus forte qui soit. Ce risque de mourir, de donner sa vie, de se ridiculiser. C'est tout ce qu'il lui restait, à Frey. Et Dev meurt d'envie de le voir les cheveux blonds platine, ou rose. Peut-être bien qu'il lui volerait la vedette du prochain défilé tient. Sa démarche assuré et normale ne laisse aucunement paraître son stresse naissant. Elle doit arrivé avant lui, l'alternative n'est pas imaginable. Si elle le laisse arrivé, il devra lui donner un défi, elle le connaît. La divinité qu'est la Malster, augmente le pas considérablement, la course prend envie naturelle; elle court jusqu'à sa voiture et grille un ou deux feux rouges. Une triche que seul les témoins pourront annoter. Or, il n'y a personne pour venir contrer ses dires. You'll loose Frey. Un rictus nouveau, celui de la victoire, vint sur ses traits. Le stationnement ne prend que deux millisecondes, un temps précieux dans ce jeux. Au loin, la voiture de Niels se gare, elle peut lire le juron sur ses lèvres. Frey. You're late. Ses lèvres pincés lance la remarque banale, qu'il connaît déjà. I expected more of you, puppy. Le surnom est une menace silencieuse, un challenge. Ses yeux prennent envie, cherche avec délice, sa langue frottant son palais mourant d'anticipation. Que les mots soit; qu'ils parcourent ses lèvres. I'm not mean for the hair. I also don't like competition. So let's settle for a quick running naked to the ocean, and a skinny-deep. Parce qu'il a un corps de rêve. Un corps qui la tient éveillé la nuit, lorsque son imagination – trop fertile parfois – la laisse voir les courbes de son physique digne des Dieux. Un torse musclé qui se dissimule derrière cette blessure idiote. Lui, la star montante, qui ne brille plus, qui s'est fanné. Dev le sait, il brille de nouveau lorsqu'il est avec elle. Cette addiction à elle, à l'adrénaline, guide chaque mouvement. Mais dans la vie de tout joueur, vient le moment de la paix avec soit. Ou plutôt de la revanche.   You're maybe injured, but you still got your god-like features. Show me that body Nini. Un nouveau surnom qui atérit sa cible avec un sarcasme senti. Ses iris regardent avec attention l'homme devant elle, désir et appétit, mais surtout cette envie de jouer avec lui. Or is too much for you, pussy? Sa vulgarité disparaîtrait lors de son enterrement.
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MessageSujet: Re: i'll do whatever magical comes to you [r/nils]   i'll do whatever magical comes to you [r/nils] EmptyLun 8 Mai - 19:39


( her eyes proposed sin
and i accepted hell falling for them. )

Certaines créatures sont faites pour être laissées tranquilles, pour n'être que seulement admirées avec révérence. De loin, dans l'idéal, depuis une distance assez vaste pour que l'idée de soudainement vous arracher la jugulaire ne puisse jamais naître. Dev Malster lui a toujours fait penser à une panthère. C'est cette grâce facile, irrévocablement féline, qui imprègne le moindre de ses mouvements, la fluidité souple de la fumée émanant d'une cigarette - on essayerait de l'attraper pour mieux la regarder s'évanouir à travers les brèches entre ses doigts, ténébreuse et insaisissable. C'est aussi le sourire doucereux, carnassier, davantage semblable à l'exposition de rangées de dents parfaitement acérées plutôt qu'à la quelconque expression physique d'un sentiment joyeux. C'est finalement surtout dans ses yeux - on en revient toujours aux yeux, fenêtres sur l'âme et toutes les conneries du genre - que dansent des flammes infernales d'Hadès, la promesse de de la décadence au fond de ses iris sombres, une agonie qui lui plairait qu'un peu trop. Parce que, et c'est là que réside tout le problème chez Nils Frey, la tentation de piquer le tigre endormi est généralement trop intense pour être refoulée, malgré les conséquences désastreuses qui pourraient se dessiner à l'horizon et aussi flagrantes soient-elles. Tremper avec Dev se rapporte à demander la punition divine qui suivrait inéluctablement un acte d'une stupidité aussi absolue. Nils est non seulement conscient de sa propre idiotie, il se prépare également pour la foudre venue d'en haut qui allait, sans l'ombre d'un doute, violemment le frapper. C'est ainsi que quand le message piquant est réceptionné, il abandonne la vente aux enchères sans se retourner et ce avant même qu'elle n'ait en réalité commencé. Il est venu en quête d'objets insolites à l'histoire encore plus invraisemblable, des reliques uniques qui témoignent d'un passé riche en rebondissements si pas nécessairement glorieux, le genre d’anecdotes qu'on raconte de façon passionnée quand les amis venus dîner à la maison interrogent sur leur provenance. Il est parti dans un échec cuisant puisque ses attentes n'ont été rencontrées que par une déception proportionnelle quand il s'est avéré que toutes les antiques exhibées étaient d'une banalité affligeante et sans âme ni authenticité, celles dont on rempli sa baraque dans l'effort vain d'émuler le châteaux de Versailles. Il voulait la révolution et la guillotine, la guerre des roses et les trahisons fraternelles. Il n'a que faire du miroir en or massif de la marquise de who-the-fuck-cares. La mise au défi de Dev présente un prospect plus intéressant à sa journée autrement morose et l'instinct veut qu'il réagisse au quart de tour à l'évocation d'une course. Le schéma a pourtant un défaut criant impossible à ignorer : pour tout ce qu'il en sait, elle pourrait tout aussi bien déjà être à Amagansett, prête à assujettir ses cheveux à un caprice farfelu. Incapable de déduire s'il n'avait pas déjà perdu d'avance, il décide de prendre le jeu sous un angle différent. Il fait demi-tour, en route pour un détour certain. Il s'arrête, une station-service à milles lieux du point de rendez-vous, fait le plein et achète une barre protéinée qui se perd aussitôt dans le bazar multicolore de sa boite à gants. Il repart, vogue allègrement au rythme des vents et du trafic, un coude reposé nonchalamment sur la fenêtre rabaissée de la voiture. Il se gare une bonne vingtaine de minutes plus tard dans le parking devant la plage. Là encore, il se défait de sa veste et de sa cravate avant de les laisser rejoindre la banquette arrière du véhicule, remonte les manches de sa chemise immaculée. Il sort son portable de sa poche et vérifie ses emails, prend le temps de supprimer quelques spam et confirme sa présence à un événement caritatif imminent. Il a écoulé cinq minutes de plus quand il quitte finalement sa Mercedes. La main droite en visière, il aperçoit Dev au loin et, de toutes ses forces, s'écrie : Dammit, Malster! , sourire aux lèvres. Il savoure le baiser bouillonnant du soleil plombant de l'après-midi contre sa nuque alors qu'il s'avance lentement vers elle, mains dans les poches, pompes hors de prix écorchées par le sable. Le regard rivé sur celle qui a tout des sirènes redoutables décrites par Homère, il peut sentir son palpitant lentement se réveiller, colibri enfermé dans sa cage thoracique, comme si sa curiosité avait été piquée. C'est l'anticipation de tout ce qui pourrait arriver, le prix d'une imagination trop féconde qui imagine un millier de scénarios. La morsure de l'adrénaline est un frisson qui naît à la base de son échine, elle lui est à la fois intimement familière et continuellement nouvelle, chaque redécouverte plus transcendante que la dernière. Une réaction chimique pourtant simple : danger, casse-toi de là. Il l'a toujours comprise à l'envers et accélère le pas. Le surnom lui arrache un rire. Maybe I liked the idea of you waiting for me. Positivement. Il espère, naïvement, malicieusement, qu'elle l'a attendu depuis l'envoi du message, qu'elle a trouvé le temps horriblement long et qu'elle a été terriblement soulagée de finalement le voir arriver. Il l'espère, et ne fait aucun effort pour le cacher. Et puis, elle arrive, la proposition facétieuse. You wicked, wicked woman. L'éclat de la lumière du jour, une plage privée pas si privée que ça, un océan atlantique qui est très probablement encore glacial à cette époque de l'année - ça ne pourrait que mal tourner et ça ne rend l'offre qu'encore plus alléchante. Il s'esclaffe. Amusé, surpris, attisé, épaté ? Il ne sait pas vraiment, mais le plante de ses pieds démange d'envie d'aller goûter aux vagues bleu acier. Dev continue de le provoquer, jouant habilement entre caresser son ego et le poignarder brutalement. Et juste pour voir où ça pourrait mener, il meurt d'envie de refuser - juste pour voir. I'm sorry sleepyhead, but I was done running hours ago. Genou en miettes ou non, il est debout aux aurores tous les matins pour le footing sans lequel il ne peut pas commencer sa journée. B-a-ba. Esprit sain dans un corps sain, tout ça. Il faudrait l’amputer pour le clouer au pieu. Et encore, il trouverait un moyen de s'échapper. Il est comme ça, Nils, inépuisable. You go. My god-like features can stay here and watch. Very carefully. Il ne prétendra pas ne pas avoir remarqué le maillot de bain. Il croise les bras sur son torse, challenge exprimé à demi-mot. Make me.
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MessageSujet: Re: i'll do whatever magical comes to you [r/nils]   i'll do whatever magical comes to you [r/nils] EmptyJeu 18 Mai - 1:49

Une imagination fertile lui fait perdre le court de ses pensés générales. Remerciement général à ses yeux qui dévorent du regard les traits particulier du Frey. L'athlète au corps de rêve, le Dieu sur deux longues jambes. Sa peau teinté ivoire, sans ressembler à la pureté d'une poupée, car il a été sali, resplendit au soleil. How disapointing. Envelopper de tissus qui ne définit que grossièrement ce qui se cache derrière la fabrique. Les muscles formés de ses bras, passé autour de sa taille, soutenant ses moindres faits et gestes. Oserait-elle faire une fausse manœuvre pour se retrouver couver par ceux-ci? Rattaché au meilleur morceau, le tronc, le torse, la magie qui est dissimulé, qui laisse une moue boudeuse sur son visage colérique. Une émotion différente, significative. Ô, elle a imaginé des centaines de fois au cours de rêves érotiques la peau nu de l'aventurier contre la sienne. À travers des baisers sensuels, des touchés magnifiés par leur deux beautés divines, des caresses énigmatiques et féroces. Ses jambes sportives, tenant sa forme, rendant chacun de ses pas fluant s'entremêlant aux siennes dans une guerre folle. Elle ne voulait à ses pieds, suppliant, essoufflé, endormi mais surtout en pagaille. Un désordre, autant dans ses cheveux châtains, que ses yeux azur remplit de désir. Ces lèvres, prises entres ses dents, le combat du pouvoir. La domination absolue, la contagion de sa férocité sur le corps entier de l'apollon. Son estomac ne supporterait pas de l'avaler en une seule bouché. Bien, elle prendrait son temps, un os à la fois, une douce torture qui le rendrait aveugle, soumis, fiévreux d'obtenir la suite. Obéissant, châtiant les agissements de la Malster. Un loup criant à la lune. La lumière se perdant dans la noirceur, qui l'engloutit avec une lenteur suffocante. Ses pupilles se dilatent, son souffle s'accélère. Son agitation corporelle est sans équivoque, incontrôlable. Dev se mord la lèvre inférieur, ne tente pas d'être civilisé. La bête en elle jaillit, s'amuse, ricane et anticipe. Puis il ouvre la bouche, détruit toute illusion, tout espoir. Et bien sûr, elle roule les yeux, le cynisme comble l'air froid, glaciale. L'été est remplacé par la glace de l'hiver. Fucking tease. Tant pis. Elle se console, n'en aurait fait, de toute façon, qu'une bouchée. Son jeu passif conduisant à sa perte ne durant qu'une fraction de seconde. L'amusement certes, reste en suspend lorsque ses lèvres laissent entrevoir une ouverture. L'alternative ne l'effraie pas, lui donne une montée d'adrénaline. Son corps, mis à nu. L'originalité caché sous une volonté dont elle se moque, à peine, silencieusement. Ses crocs mise de l'avant reprenne leur place dans sa bouche, maintenant caché par moralité. Elle qui se croyait le prédateur, devient la proie. Il la teste, risque de se brûlé au passage. Mais c'est ce qu'il recherche, Nils. Il veut le danger. Son obsession, son addiction. Il a besoin de cette dose, de cette drogue que seul Dev peut lui offrir. Elle contrôle son univers, le manipule sans émotions ou regret. Avec elle, tout est relatif. Prendre avec des pincettes n'est pas dans son vocabulaire. Au diable la gentillesse et les bonnes manières. I thought you were a man, puppy, and would ask straight to see me naked. But fine. Car Dev a bien l'intention de répondre, de se laisser charmer par la proposition très indécente de Nils, bien qu'elle soit celle qui est initié ce jeu. Si elle n'est pas capable, elle-même, d'effectuer ce qu'elle demande, autant prendre la statuette du perdant, de la coincée et de la prude. I mean, I get that you're shy and a bit coward. Sans attendre, son pantalon est descendu. Il ne faut pas rigoler avec Dev Malster. , dit-elle retirant complètement son chandail, son bikini couvrant à peine le reste de son corps. You're afraid you'll disapoint your fans, those young girls thinking you are their world. Elle en ajoute, bien qu'elle a abandonné qu'il la rejoigne. Il aime joué selon des règles précises, recule lorsque Dev souhaite aller vers l'inconnu. Ce qui n'empêche pas Nils de s'amuser, au contraire. Certes, elle est déçu, son plaisir gâché, dissipé avec la marré montante. Peut-être que cette baignade lui ferait du bien. La brunette retire son bas de bikini avec un rictus sur le visage, le laissant tomber au sol. I do think you are overdressed, puppy. Après avoir lâchement retirer son haut – la laissant nu – la Malster vient prêt de lui, tel un chat chassant une souris, prenant l'initiative de lui descendre le pantalon, sa tête baissant jusqu'à être à ce niveau, sa respiration, elle le savait, passant à travers le fin tissu de son sous-vêtement. Elle remonte, et bien qu'elle soit plus petite, soutien son regard avec grandeur, autorité et supériorité. For someone who likes danger, you're more of a scared child right now. Sur ces mots, elle part, court avec une lenteur souffrante – probablement – pour les yeux rivés sur elle du Frey qu'elle laisse derrière. L'eau est douce, pas aussi froide qu'elle le pensait, certes, c'est bien mieux que rien du tout. Dev ne s'éternise pas, revient vers Nils, reprenant son bikini qu'elle enfile à nouveau, un large sourire sur ses traits. He's boring today, might have to get rid of him, pense-t-elle dans le silence de sa tête. Come on Frey, I'm bored. Être nu, après tout, fait parti de sa profession. Des défilés en sous-vêtements laissant à peine l'espace pour l'imagination, peu importe la forme. You just saw my nipples, what else do you want? Qu'il laisse son imagination, ses désirs enfouis et profond prendre forme, car elle, n'est pas gênée, ou le moindrement attaqué par des défis aussi idiots que ceux-ci.
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